-PROLOGUE-

Les arbres s'élevaient toujours plus haut dans les plaines Bretonnes. Les vagues venaient s'écraser contre de longues falaises rocheuses. Un mince rayon de lumière s'échappait d'un petit trou creusé dans l'un des côté de la falaises par le temps et les précipitation. Qui pouvait croire que ce qui se cachait à l'intérieur pouvait être bien plus dangereux que tout ce qu'on pouvait créer ou même imaginer!? Qui pouvait croire à ce qui allait se passer!?
 Le docteur Tiki Mikk terminait lentement sa bière, appuyé de son autre main à son bureau. Il regardait sans lire dans les détails les derniers rapports de ses subalternes. Toutes les recherches étaient ciblés sur une chose qui lui paraissait improbable, irréalisable mais si ils y arrivaient, extrêmement dangereuse. Malheureusement, lui aussi était sous les ordres de quelqu'un et il savais que sa vie n'était plus entre ses mains depuis le jour où il avait franchit la porte de se bâtiment. Il devait donc obéir aux ordres, que ça lui plaise ou non! Il soupirât et refermât le dernier dossier. Il reposât sa bouteille à présent vide puis il s'approchât lentement de la seule "fenêtre" de cet étage dans lequel il était le plus haut placé. Il détestait cette bâtisse, déjà l'intérieur lui donnait des vertiges: tout son étage n'était qu'une seule et même pièce. La moitié rempli d'ordinateur et l'autre de tout le matériel scientifique. La seule pièce à part était sont bureau mais, à son plus grand regret, séparés par un mur vitré. Quand au mur, ils étaient bien trop blanc pour lui, ils lui donnaient un mal de crâne à chaque fin de journée. Mais Dieu merci et grâce à son poste haut placé, il avait sa chambre à lui! Oui, il vivait comme tout les autres dans ce bâtiment. Il trouvait très étrange d'avoir construit un bâtiment dans une falaises des côtes bretonne mais en y réfléchissant, c'était normal pour un centre de recherche frauduleux de se cacher dans un endroit où personne ne les trouverait. Dès lors qu'on acceptait un métier ici, on ne voyait plus jamais le soleil. Encore pire, on ne voyait plus jamais sa famille. Le docteur eu un frisson et ses yeux embrumèrent. Il eût un flash. Il revoyait sa maison tomber en cendres, les deux femmes de sa vie: son épouse et sa fille. Tout ça parce qu'il avait essayé de fuir cet institut. C'était sa punition pour avoir désobéit aux ordres. Il sortit une vieilles photos. Une photo de lui et sa femme. Sa fille était au centre et souriait malicieusement en lui tirant les cheveux. Il rit nerveusement. Le bracelet électronique accroché sévèrement à son poignets bipât, ce qui le fit sursauté. Ses supérieurs voulaient lui parler! Il remît sa blouse blanche tout en sortant de son bureau. Il fit demi tour, il avait oublié le dossier qu'il devait prendre, celui qui trônait à part sur son bureau, celui tamponné "prioritaire" en rouge, celui sur lequel tout le centre travaillait en se moment, celui dans lequel repose la photo flou d'une silhouette inhumaine, celui nommé "l'éveil de Hakai "